vendredi 11 novembre 2011

Mot d'absence


Youps !!!  Dernière note le 30 octobe….  Flemme, pas le temps, la tête ailleurs ??? Un peu de tout ça.
Mais surtout pas par manque de choses à dire.
Là, grosse pause de plusieurs minutes, avec question d’une importance capitale : par quoi, par où commencer ???
Par le « r » de mon ordi qui me rend folle ?
Par mon dos et les petits trucs que j’ai mis en place pour le soigner ?
Par la liste et le descriptif par le détail des dernières « Mattelleries » et la question « y’a-t-il une limite à la connerie humaine et surtout matellienne » ?
Par ce film qui a fait mal à mon féminisme vu dimanche denier ?
Par mon audition lundi dernier ?
Par les vieux démon qui refont surface avec un coup de téléphone de la banque hier, j’ai peur….
Par des nouvelles de mes tdc ?
 Voilà j’ai le choix…
Faisons donc un petit melt des histoires vite dites… Les petits détails de l’histoire, mais les miens en sont vraiment.
Parce que l’ « r » de mon odi qui déconne ne changera pas le cours de l’histoire heureusement. C’est juste un petit agacement… Juste parce que mon ordi me suis partout au boulot et hors du boulot d’ailleurs… Il se trouve que les narkeo trafikants ont trouvé une tannerie du début de notre millénaire dans les profondeurs de la terre et que je m’occupe de tous les petits objets qui en sont sortis. 2000 clous à nettoyer, brosser, débarrasser de la rouilles des gangues qui les entourent. L’ordi n’est pas loin pour noter tout ce qui peut être observé, compté, à leur sujet. Et voilà que le « r » ne bouge plus, juste un petit caillou le bloque. Pince, scalpel, l’opération se déroule bien le caillou est extrait. Sauf que depuis toutes mes phrases deviennent des ph’ases, mes rires des ‘i’es, et je ne craque pas mais je c’aque. Je dois tout corriger pour que l’on comprenne ce qui est écrit. Moins grave que le déficit de la Grèce celui de mon compte en banque, Fukushima, ou les inondations en Indonésie. Rien de plus à dire sur mon «r ».
Pas beaucoup plus et pas vraiment envie de parler de ce coup de téléphone hier matin dont je me doutais bien qu’il viendrait rapidement après le mois que je viens de passer. La maladie et tous le frais à avancer, les médicaments à vignettes jaune, les enfants à habiller pour l’hiver, et autres « fantaisies » comme manger, ont mis à mal mon compte en banque. Il y avait longtemps que cela n’avait pas été grave à ce point. C’est toujours au début de l’hiver que ça arrive. Demain matin je dois appeler ma banquière, une nouvelle et j’en ai déjà mal au ventre.
Je ne ferai pas non plus comme hier soir, quand j’ai voulu dire à quel point j’ai été émue par La source des femmes, à mes zamis, et où j’ai commencé à raconter l’histoire de ces femmes qui font la grève du sexe pour prouver à leurs hommes que la tradition n’a pas que du bon. Je dirai simplement allez le voir, parce que c’est l’histoire du combat des femmes qui ont tout à faire pour affirmer leurs droits et leur libertés. Parce que quand on sent en soi le féminisme depuis qu’on est enfant, ce film fait mal, et donne envie de hurler. Alors allez-y.
Un peu plus à dire sur mon dos. Jetés les médicaments. Quitté le kiné dragueur. Changé contre une petite kiné moins dragueuse, méziériste, masseuse, que je vois depuis maintenant quinze jour et qui elle fait bien son métier. Acheté des fleurs de Bach pour pleins de bobos de l’âme, et pratiqué le bain chaud avec adjonction d’huile essentielle de Gaultherie. On dirait que ça marche. La grosse douleur s’estompe. Je me décontracte et hier au lieu de la séance de kiné j’ai eu droit à un cours de relaxation. J’an reparlerai.
Voilà pour le vite dit. Pour ce sur quoi je ne m’étale pas trop. On va voi pou le este maintenant. Je veux dire on va voir pour le reste.

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