lundi 27 juin 2011

Passage rapide éclair...


J’avais presque oublié qu’on pouvait ne plus blogguer d’un jour à l’autre… Rien de vital finalement… Mais tout de même… Les premiers jours on continue de penser « blog », on regarde autour de soi, on se dit que l’on racontera ci ou ça … On est plus attentif aux anecdotes,  à ses ressentis, on note sur des petit bouts de papier, des idées, des phrases parfois. Puis finalement on sait que ça ne servira à rien.
Je ne sais pas trop ce qui s’est passé et de quoi souffre mon ordi du boulot qui me suivait partout hors du boulot. Il est parti à Paris, depuis plus d’une bonne semaine. On survit à ce genre d’emmerde qui finalement n’a absolument aucun caractère grave.  Mais ça manque. Tous les jours je passe sur mon va pieds nus, je vois qu’on vient me visiter, mais je n’ai pas le temps de me poser pour faire une note. Note qui me ferait du bien… Car toutes ces petites histoires, mine de rien, sont comme un exutoire aux petits énervements, agacements, colères ou joies, de la vie quotidienne. Une sorte de thérapie au quotidien.
En même temps comment en ce mois de juin aurais-je trouvé les instants pour me poser et écrire. La nuit certainement. J’ai eu l’honneur ce mois ci de bénéficier des amabilités de Ken-l’ex …Dura l’ex sed lex… Le festival a d’ailleurs souvent lieu aux mois de juin-juillet, comme souvent les festivals et kermesses. Je ne sais pas,…. l’arrivée de l’été qui lui mettrait le neurone qu’il partage avec sa Barbie en pelote…. Peut-être aussi l’anniversaire de notre divorce officiel, qui lui chatouillerait le nerf optique, enfin un truc tous les mois de juin le rend encore plus crétin que le reste de l’année. Par ailleurs, sa Barbie de l’ex, se déchaîne elle aussi quand le neurone est dans sa case.
Elle a commencé par taxer le portable tout neuf de la lutine, alors que Ken-l’ex, l’avait déjà vu et n’avait rien dit. « Supprimé le portable, dans un tiroir toute la quinzaine, non mé alors, on faisait comment  nous, on en avait pas des portables, et on survivait !!! » qu’elle dit la Barbie. Moi je lui supprimerais bien sa bagnole que je remplacerais pas un cheval et une charrette, pour aller bosser… Hein ?! parce qu’on n’avait pas de bagnole pour aller bosser il y a deux siècles et on allait bosser quand même… Et puis je la priverais de télé, tous les soirs pendant un trimestre, et aussi j’enlèverais toutes les ampoules dans sa maison… Hein parce qu’il y a deux siècles on n’avait pas ça non plus, et on vivait quand même !!!
Et le Ken-l’ex, lui trop courageux comme à son habitude même pas capable de dire c’est ma fille c’est moi qui décide.
Il n’a jamais été très courageux ken-l’ex… Bon débarras.
Son festival commence par une perle. Comme seul lui sait les fabriquer. Nous parlions au téléphone d’une rue Bordelaise dans laquelle le nounours devait faire un stage. Je cherchais quelle était cette rue, lui hésitait mais penchait pour la rue des peupliers dans le vieux Bordeaux… Je ne voyais pas du tout, certaine qu’il se trompait. Mais je connais son esprit d’escalier pourri, et je flairais la perle rare. Je proposais rue des Piliers de Tutelle… Bingo ! Peupliers…. piliers de tutelle, ça tombe sous le sens. J’ai du faire un effort surhumain pour ne pas mourir de rire ! Je pensais au patron de mon frère qui appelle rue du Jus de Pomme la rue du Jeu de Paume. C’est du haut-vol…Bon débarras !
Ca c’était pour le côté « Je me ris dessus… »
Mais il y a aussi le côté « Je vais leur casser leur gueule de jouet Mattel… »

Et ce côté là, est celui qui me hérisse le poil.
Celui qui me fait parfois regretter de lui avoir offert la garde alternée, confiante en cet homme ennuyeux, mais père tendre et aimant.
Après dix ans de séparation, il a toujours en lui ce désir de me faire payer ma décision. Et au mois de juin juillet c’est le déchaînement.
Le problème c’est que forcément le seul moyen de m’atteindre passe par les enfants.
Les enfants auraient dû passer une semaine chez soeurette courage à Montpellier en juillet. Réunion de cousins qui n’ont pas beaucoup l’occasion de se voir. Ils s’en réjouissaient. Il m’a fallu le demander à Ken-l’ex car la seule possibilité de date était pour la deuxième année sur sa période de vacances. Tout était nickel chrome car cela lui permettait de faire l’économie du prix du centre de loisirs. Il était même prêt à ce que les tdc restent deux semaines jusqu’à ses vacances « Matell au pays de la crêpe à moule »… Tu parles deux semaines d’économie de centre !!! Bien sûr aucune participation aux frais de voyage, à l’argent de poche, aucune intention de dire un merci à ma soeurette pour ces vacances offertes. J’ai donc osé demander une petite participation. Là, il s’est transformé en Kenl’ex- zébulon, hurlant dans mon oreille que jamais, et que ces vacances étaient donc annulées. Cela ne me prive de rien, cela ne le prive de rien… Juste, cela prive 5 cousins d’une super semaine ensemble.


J’ai aussi apprécié que Ken-l’ex refuse de s’occuper de ses enfants pendant la moitié de SA dernière quinzaine, sous prétexte, que nous entrions dans la fatidique semaine de festivités de juin. Stage du nounours en entreprise, dernières journées de foot, de théatre, spectacle de fin d’année, pièce et répétitions. C’est trop pour lui. Trop loin, trop souvent, trop tard, trop, quoi !!! Alors, il a décidé que ce serait trop rien et qu’il n’accompagnerait personne nulle part. Alors, c’est ki qui doit se démerder pour que tout se fasse, amener, aller chercher, le foot, les répets, le spectace, le stage … La méli va pieds nus partout, elle est tout terrain, la méli, elle court, elle roule, elle accompagne, elle attend dans sa voiture, des heures et des heures, elle est la Pénélope sans toile, elle lit et elle lit encore.
Alors il va y avoir vengeance. Petite vengeance. Vendredi Ken-l’ex viendra chercher les tdc car il a besoin d’eux. Parce que des tdc quand même y’a des moments où ça peut servir.
Parfois ça sert pour faire des baby-sitting gratoch pour garder les mini-mattel qu’il a fait avec sa barbie.
Et là, Ken compte sur eux pour leur faire préparer les tartines et les verrines pour ses invités de ses 50 ans à sa garden-party du 2 juillet. Avec comme guest star sa poule trisomique de mère, sa famille et tous ses amis anciens militaires trop je les aime ceux-là. Et il a demandé aux tdc de me dire qu’il viendrait les chercher vendredi soir. Et ben moi, je vais me transformer en aussi bête que Ken et je vais dire « Nan nan nan, je garde mes tdc pour moi, je les rends que samedi matin, parce que la moindre des choses c’est de demander poliment entre adultes consentants. Ben ken comme t’as pas demandé, t’auras pas. Voi-la !
Bon je sais bien ça fait un peu cour d’école tout ça, quoi que dernièrement dans les cours d’école on soit beaucoup plus méchant que ça…
Je rêve de donner un jour un coup de boule à Barbie et de cracher mon mépris à Ken. Mais je ne suis pas certaine que je le ferai car je ne suis pas certaine que cela me rende plus heureuse….



























mercredi 1 juin 2011

Haraki... rit !!!

Portable maison muerto. Que s'est il passé dimanche entre mon départ au marché et mon retour du marché ??? L'affaire est aussi mystérieuse que l'histoire DSK... Les yeux du nounours tournicottent dans tous les sens lorsque j'évoque le problème... Il est resté à la maison avec un pote pendant que j'allais déjeuner avec une armée de collègues-amis... A mon retour, portable étaint. Message blanc sur écran noir... Ca sent mauvais... Très mauvais. C'est tout de même mon outil de travail, et tous mes enregistrements de narkeotraffic sont dessus... Je dois renvoyer l'objet à la direction informatique à Paris, pour réparations.... Merveilleux... Tous mes textes de blog sont dessus, quelques films de Greg Haraki un peu chaud bouillants.... Je "prie" pour que la direction informatique ne mette pas son nez dans mes dossiers....
En attendant je bloggue avant de me mettre au boulot ....